Comparaison MYM et OnlyFans : Modèles, Chiffres et Fonctionnalités
Comparaison MYM et OnlyFans : Modèles, Chiffres et Fonctionnalités Dans le domaine du contenu exclusif en ligne, deux plateformes dominent : MYM et OnlyFans. Ces géants offrent aux créateurs de contenu des opportunités de monétisation et donnent accès à du contenu privé à leurs abonnés. Cependant, ces plateformes se distinguent sur plusieurs aspects, notamment leur histoire, leur modèle économique, leurs fonctionnalités et leurs programmes de parrainage. Cet article détaillera ces différences pour vous aider à faire le bon choix selon vos besoins. Histoire et popularité de MYM et OnlyFans OnlyFans, le pure player anglais depuis 2016 Créée en 2016 par Tim Stokely, OnlyFans est une plateforme britannique permettant aux créateurs de proposer des abonnements payants à leur contenu exclusif. Bien que son concept initial ressemble à celui de Patreon, OnlyFans s’est rapidement démarqué par son approche permissive du contenu pour adultes. L’acquisition en 2018 de 75% des parts par Leonid Radvinsky, un entrepreneur américain du secteur du divertissement pour adultes, a contribué à la croissance fulgurante de la plateforme. Enfin, la pandémie de COVID-19 a permis de booster les connections aux sites. Aujourd’hui, OnlyFans est un acteur mondial incontournable avec des millions d’utilisateurs actifs. MYM, le challenger français depuis 2019 Lancée en 2019 en France, MYM (“Meet Your Model” or “Me. You. More.”) s’adresse principalement à un public francophone. Encore jeune par rapport à OnlyFans, elle gagne en popularité, notamment en Europe francophone. MYM veut se positionner comme une plateforme plus large en termes de créateurs, incluant des influenceurs, des artistes, des musiciens, et des coachs fitness. Même si dans la réalité, le gros du contenu est encore généré par l’industrie adulte. MYM met l’accent sur la personnalisation de l’interaction entre les créateurs et leurs fans, tout en offrant une expérience utilisateur plus adaptée aux créateurs francophones. En 2022, DJ Snake participe à une augmentation de capital dont le montant n’est pas connu. Et en 2023, MYM devait réaliser une nouvelle levée de fonds pour attaquer le marché américain mais cette levée de fonds n’a semble-t-il pas eu lieu. Modèle économique et taux de commission OnlyFans, simplicité dans la tarification Le modèle de monétisation d’OnlyFans repose principalement sur les abonnements mensuels. Les créateurs fixent un prix pour leur contenu, auquel les abonnés peuvent accéder de manière récurrente. En plus des abonnements, les créateurs peuvent vendre du contenu à la carte via des messages privés payants et recevoir des pourboires de leurs fans. OnlyFans prend une commission de 20 % sur les revenus générés par les créateurs, un taux relativement compétitif par rapport à d’autres plateformes de contenu exclusif. MYM, flexibilité à la carte À l’inverse, MYM propose un modèle de monétisation plus flexible. Les créateurs peuvent fixer des tarifs pour chaque contenu privé, sous forme de photos ou vidéos à la carte. En plus des ventes directes, MYM propose aussi un système d’abonnement, mais sa commission sur les revenus des créateurs est de 20-25% , supérieure à celle d’Onlyfans. De plus, MYM se distingue par des options telles que les pourboires et le contenu personnalisé sur demande, permettant aux créateurs d’avoir plusieurs sources de revenus. Chiffres clés : Revenus, abonnés et créateurs OnlyFans, le géant international du secteur OnlyFans a connu une croissance impressionnante depuis son lancement. En 2021, la plateforme a déclaré plus de 2 milliards de dollars de chiffre d’affaires, avec plus de 150 millions d’utilisateurs inscrits et plus de 2 millions de créateurs de contenu. Le succès de la plateforme a été grandement amplifié par la participation de célébrités et d’influenceurs qui ont attiré des abonnés du monde entier. En 2023, Onlyfans a généré 6.6 milliards de dollars (6 milliards d’euros), soit 1 milliard de dollars de plus qu’en 2022. La plateforme a gagné 50 millions d’utilisateurs pour un total de 305 millions de comptes fans et atteint 4.6 millions de comptes créateurs ! Elle aura versé 426 millions d’euros de dividendes. MYM, 15 fois plus petit que son concurrent mais en forte croissance ! MYM, bien qu’encore jeune, compte plus de 14 millions d’utilisateurs, avec plus de 300 000 créateurs actifs en 2024. La plateforme est particulièrement populaire en France et en Europe francophone, mais elle commence à étendre son influence à l’international. En termes de revenus, MYM ne publie pas de chiffres aussi détaillés qu’OnlyFans, mais le chiffre d’affaires de la plateforme serait de 60M€ en 2022 (avec une commission pour la plateforme autour des 12M€). Les fondateurs espéraient atteindre 250M€ de chiffre d’affaires pour 2023 lorsqu’ils cherchaient à lever des fonds. Fonctionnalités et outils pour les créateurs OnlyFans, le plus simple OnlyFans propose plusieurs outils pour ses créateurs, notamment la possibilité de vendre du contenu privé via des messages directs, des options de pourboires et des offres d’abonnement personnalisées. Les créateurs peuvent également envoyer des messages de masse payants (PPV) à leurs abonnés, augmentant ainsi leurs opportunités de revenus. Cependant, la personnalisation des profils et des fonctionnalités reste relativement limitée, comparée à MYM. MYM, le plus personnalisé MYM se distingue par une gamme plus large de fonctionnalités. En plus des abonnements et des ventes de contenu privé, la plateforme propose des fonctionnalités avancées telles que le “Push Media”, permettant aux créateurs d’envoyer du contenu bonus directement à leurs abonnés. MYM propose également un programme “SuperStar”, qui récompense les créateurs les plus actifs et performants par une meilleure visibilité et des taux de commission améliorés. Modération et types de contenu OnlyFans, plus libre dans le type de contenus, et très NSFW OnlyFans autorise une large gamme de contenus, y compris du contenu pour adultes. Cependant, cette approche a suscité des controverses et une image publique parfois négative. En 2021, OnlyFans a brièvement annoncé une interdiction du contenu pour adultes, avant de revenir sur cette décision face aux réactions massives de la communauté des créateurs. MYM, plus équilibré dans le type de contenus MYM, bien qu’autorisant également le contenu pour adultes, se montre plus strict sur la modération et maintient une politique de contenu plus professionnelle. Les créateurs doivent soumettre leurs contenus à un processus
Diskuta, la startup qui monétise intelligemment les followers
Diskuta, la startup qui monétise intelligemment les followers Diskuta permet aux influenceurs de monétiser leurs communautés. Comment ? En appelant leurs fans et en étant rémunérés pour ça ! Concrètement, la startup met en relation des influenceurs avec des followers qui souhaitent leur parler en direct. Le principe est vraiment de discuter (d’où le nom « Diskuta ») avec son influenceur préféré comme avec un ami à qui on demande des nouvelles ou des conseils. Les influenceurs mettent à disposition des créneaux d’appels en fonction de leurs disponibilités. Ensuite, ils définissent le prix de l’appel que leurs followers devront payer pour discuter avec eux. Leurs followers n’ont plus qu’à réserver un créneau pour discuter. Diskuta : des appels avec sa communauté pour monétiser son influence « Notre but est de créer une nouvelle source de revenus pour les influenceurs et de délivrer du bonheur aux followers. » > Des revenus supplémentaires pour les influenceurs La startup française Diskuta répond au souhait de bon nombre d’influenceurs d’arriver à vivre de leur activité de création de contenus. Les influenceurs qui proposent un contenu inspirant à leurs followers peuvent partager leur expertise et leurs idées avec leurs followers. Pour le créateur de contenu, la stratégie est simple « Appelez. Gagnez. » comme le dit le site. Plus il passe d’appels, plus il gagne. Le site prend une commission mais ne facture pas d’abonnement. “On ne gagne que si l’influenceur gagne avec nous, c’est honnête.“. Un influenceur moyen peut rapidement gagner plus de 100€ en une heure, tout en ayant une vraie valeur ajoutée pour son follower. Les tarifs des influenceurs sur Diskuta varient en fonction de leur renommée et de ce qu’ils peuvent apporter au follower. Le temps limité des influenceurs et la forte demande pour des appels personnalisés font grimper les prix qui sont généralement compris entre 25€ et 50€ par appel, voire plus pour certaines célébrités. Un influenceur moyen peut rapidement gagner plus de 100€ en une heure, tout en ayant une vraie valeur ajoutée pour son influenceur. Loin de polémique des influ-voleurs ! > Plus de proximité et d’engagement pour leurs communautés Le but de la plateforme d’appels Diskuta est aussi d’aider les influenceurs à renforcer le lien qui les unit à leurs followers. Concrètement, personnaliser la relation avec des followers engagés, c’est les convertir encore plus et les transformer en ambassadeurs. Cela créé de la proximité. Les créateurs de contenu utilisent Diskuta comme une façon de renforcer leur communauté et de partager leur expérience et expertise. « On peut les appeler en direct, on peut leur parler. Ca donne encore plus envie de les suivre et de les aider dans leurs projets personnels ou professionnels. » Les influenceurs peuvent aller plus loin pour servir leur communauté, mais au sens large cette fois, en proposant des appels caritatifs ! Les gains sont alors reversés directement à l’association par la plateforme. > Des appels en toute sécurité pour les influenceurs sur Diskuta Pour assurer une bonne sécurité, les influenceurs ne partagent pas leur numéro de téléphone. Le module d’appel est intégré directement sur la plateforme. Et les appels ne sont pas visibles ni enregistrés par Diskuta, ils sont strictement privés ! > Du contenu personnalisé et des conseils pour le follower L’appel en tête à tête est aussi une vraie opportunité pour le follower de discuter de façon plus personnalisée. Discuter avec son idole, qui n’en a pas rêvé ?! Diskuta offre la possibilité de parler en « face to face » comme on parlerait à un ami sur whatsapp ou sur FaceTime. On peut discuter de tout et de rien, mais aussi demander des conseils. De nombreux influenceurs ont un domaine d’expertise, comme la mode, le sport, les voyages. Les followers inspirés par leurs contenus sont intéressés pour obtenir des conseils d’experts. De quoi parle-t-on avec les influenceurs sur Diskuta ? 3 exemples. Sur Instagram, Tiktok ou encore Youtube, les influenceurs sont partout et parlent de tout. Chaque influenceur développe son univers avec un domaine d’expertise. Prenons quelques exemples : > Influenceur Sportif, pour du coaching et un vrai retour d’expérience Refaire le match avec son sportif préféré, qui n’en a pas rêvé un jour ? Diskuta l’a fait ! Un sportif de son côté pourra parler de ses matchs et compétitions avec d’autres passionnés. Certains followers voudront certainement connaitre ses entrainements, voire être mentorés dans leurs propres entrainements pour continuer de progresser. Des parents dont l’enfant est passionné de sport seront aussi intéressés pour lui faire rencontrer une star du milieu. Inspiration garantie ! > Influenceur Lifestyle, l’inspiration au cœur des appels Diskuta ! Lifestyle, c‘est très large. En fonction de leur expertise reconnue, certains influenceurs peuvent guider leur communauté pour investir, pour voyager ou même préparer un tour du monde. Via les appels Diskuta, ces influenceurs peuvent tout simplement devenir des « role models » pour leurs followers. En les inspirant pour atteindre des objectifs qu’ils ont atteint par exemple. Une motivation forte ! > Influenceuse Mode, pour des conseils vestimentaires personnalisés Une influenceuse spécialisée dans la mode peut raconter comment se passent les photoshoots (le « behind the scene »), comment elle choisit les vêtements qu’elle porte ou les marques avec lesquelles elle collabore. De même, une miss pourra expliquer son parcours, et aider à la préparation des nouvelles prétendantes. Mais elle pourra aussi prodiguer des conseils de mode ou sa routine fitness à ses followers ! Si les fans la suivent, c’est qu’elle les inspire. Si elle les inspire, elle peut les conseiller !
Visitorama, l’application digitale des Offices de tourisme
Visitorama, l’application digitale des Offices de tourisme Aujourd’hui le Startuppers’ Club vous présente Visitorama, une application de voyage de qualité. On pourrait se dire « pourquoi une nouvelle application de voyage ? ». Mais le concept de Visitorama est assez innovant et bien adapté aux nouvelles pratiques du tourisme. L’application s’appuie sur la compétence des offices de tourisme, tout en l’adaptant à une utilisation digitale. Visitorama adapte les offices de tourisme aux nouvelles pratiques du tourisme Visitorama s’adapte 3 grandes nouvelles tendances du tourisme pour proposer une solution flexible. Première tendance de fond, les recherches touristiques se font de plus en plus sur mobile. Le site et l’application proposée par Visitorama sont optimisées pour ces usages. Deuxième tendance touristique, les digital natives ont tendance à moins anticiper leur voyage et à se renseigner directement sur place. C’est là que se crée la valeur de Visitorama. En effet, les touristes peuvent trouver facilement toutes les informations nécessaires à leur visite en temps réel. Dernière grande tendance, les réservations sont maintenant faites directement via internet. “Là aussi, nous avons un rôle à jouer. Il est compliqué d’avoir un portail de réservation unifié. Nous voulons proposer un lien de réservation pour chaque activité réservable. Le projet de la plateforme Alentour pourrait bien aider dans cette démarche !”, selon David, le fondateur. Marier la qualité de l’information des offices de tourisme avec la technologie Visitorama L’information de qualité donnée aux touristes, Visitorama en fait un point d’honneur. L’information proposée sur le site et l’application est fournie par les Offices de Tourisme. « J’aime penser que nous amenons l’Office de Tourisme dans la poche des gens », souffle le fondateur. « Nous sommes au service des Offices de tourisme pour les aider à donner la bonne information au bon moment ». Les professionnels du tourisme peuvent donc proposer des visites et des circuits pour découvrir leurs villes. La dimension régionale des circuits est aussi intégrée : « Notre idée est de pouvoir réaliser des parcours départementaux ou régionaux autour de thématiques. Cela pourrait permettre de gérer les flux touristiques et d’améliorer l’expérience du touriste. ». Enfin, les offices de tourisme restent au centre de l’activité de conseil. « Le but de Visitorama est de rapprocher les OT des visiteurs. Nous avons donc créer un bouton d’appel à l’OT en un clic. Notre utilisateur peut ainsi contacter l’office de tourisme compétent sur chaque activité ou circuit. L’information est délivrée au bon moment ! ». Conseil et « Expérience Visiteur » mis à l’honneur Visitorama se revendique comme le bras digital des Offices de Tourisme et prend sa mission de conseil très à cœur. L’application se veut donc impartiale dans ses recommandations. La plupart des applications se rémunèrent avec de la publicité ou des rétrocommissions sur les activités réservées. Or ce business model ne permet pas de conseiller au mieux les visiteurs. L’application a donc décidé de ne percevoir aucune commission et n’affiche pas de publicité pour conserver une bonne expérience utilisateur. Les recommandations sont réalisées en accord avec l’Office de Tourisme local. Enfin, cerise sur le gâteau mais au combien d’actualité, elle ne tracke pas ses utilisateurs. Selon son fondateur, l’application de voyage Visitorama fait de l’amélioriation de l’Expérience Visiteur une priorité. La solution technologique a été optimisée pour fournir en un clic les bonnes informations, la bonne carte Google et du contenu en plusieurs langues. « Nous avons réalisé un travail d’optimisation important pour proposer l’application à la fois en version site internet et en application, mais je suis certain que ça va fonctionner. A long terme, le référencement internet va amener de nombreux visiteurs sur notre site et ils pourront prolonger leur expérience avec l’application pour une expérience encore optimisée. »
Call My Mentor, les pros vous donnent des conseils pour votre carrière gratuitement
Call My Mentor, les pros vous donnent des conseils pour votre carrière gratuitement Aujourd’hui, le Startuppers Club vous présente la startup Call My Mentor ! En tant qu’étudiant ou en période de réorientation, on se pose toujours beaucoup de questions quant à son avenir sans parvenir à trouver les bonnes réponses. CallMyMentor vous met justement en relation avec ceux qui peuvent le mieux vous donner ces réponses : les professionnels déjà en poste. Call My Mentor, le Career Center dont vous avez toujours rêvé ! En effet, imaginons que vouliez devenir expert-comptable mais le parcours ne vous semble pas limpide et le métier un peu ésotérique. Vous pouvez alors trouver quelqu’un qui s’y connait vraiment sur la plateforme Call My Mentor : un expert-comptable. Son profil vous renseigne sur son métier et son entreprise. Il peut avoir déjà rempli ce qu’il aime bien dans son métier pour donner de premières indications. Son agenda vous permet de trouver l’une de ses disponibilités pour un appel dans la semaine. D’un clic vous proposez à ce mentor de vous rappeler en lui indiquant quelle est sa diponibilité qui vous convient le mieux. Le mentor vous rappelle durant cette plage horaire pour répondre à toutes vos questions avec un oeil professionnel sur la question. L’inscription en tant que mentee prend dans les 30 secondes. Les mentees ne créent pas de profils publics pour limiter l’exposition de données d’un public potentiellement jeune. Et cerise sur le gâteau, le service Call My Mentor est gratuit pour tous les mentees ! Ceux qui ont besoin de réponse parce qu’ils sont étudiants, en recherche d’emploi ou encore en reconversion professionnelle… Selon David Giard, fondateur de Call My Mentor, “Cela peut permettre à de bons profils qui n’ont pas toujours le bon réseau d’accéder aux bonnes informations. Cette idée s’inspire directement du mouvement Tech for Good.” Les mentors entre engagement social et recrutement de futurs collègues L’inscription prend 5 minutes en demandant nettement moins d’informations qu’un profil LinkedIn. Les mentors donnent leurs disponibilités pour répondre aux questions de leurs mentees. Quand on travaille toute la semaine, on a peu de temps. Le site l’a bien compris et limite à 3 le nombre d’appels de 20 minutes par mentor et par mois. L’engagement pour le mentor est d’une heure par mois seulement. Pas mal pour faire le bien autour de soi ! Inscription en 5MN et maximum 1H/Mois de bénévolat par mentor Lorsqu’un mentee est intéressé par un mentor, une notification est envoyée au mentor pour qu’il puisse rappeler le mentee et le renseigner. En aucun cas, les données du mentor ne sont transmises pour éviter tout démarchage ou harcèlement. Pour les mentors, c’est un engagement bénévole et social. C’est donner une heure pour avoir un impact positif sur la société, aider ceux qui n’ont pas le réseau pour trouver les informations aussi. Mais certains mentors ont déjà compris l’utilité du service rendu par Call My Mentor : Détecter les futurs talents qui deviendront leurs collègues demain ! Motivé pour faire le bien autour de vous? Déjà en poste (même depuis peu de temps) ? Devenez mentor sur Call My Mentor Quel expérience Call My Mentor offre-t-elle à ses mentors ? Bénévolat et liberté : C’est la base de l’action des mentors de cette startup. Le mentor n’est pas rémunéré, pas intéressé directement pour vous répondre. Il le fait librement, sans la pression d’une efficacité trop liée à son environnement professionnel. Cela assure une bonne franchise des informations, clé de la réussite du projet. Le mentor est libre de dire ce qu’il pense de son métier et de son entreprise. Disponibilité : Les mentors sont invités à proposer une ou des plages horaires dans la semaine pendant lesquels ils sont disponibles pour échanger avec les mentees. Et comme les professionnels n’ont pas un temps extensible, les appels sont limités à 3 par mois de 20mn chacun, soit une heure par mois maximum. Confidentialité : Les numéros des mentors ne sont pas transmis et la plateforme vous indique comment téléphoner à vos mentees en appel masqué. Il suffit de composer le #31# avant le numéro de votre mentee et le tour est joué ! Call My Mentor propose aux entreprises d’améliorer leur marque employeur Il n’y a pas meilleure publicité pour une entreprise que d’afficher des salariés contents de travailler pour Elle. Call My Mentor surfe sur cette idée en proposant aux entreprises de créer un profil qui rassemble les mentors impliqués. Le RH de l’entreprise n’est pas oublié non plus, puisque le profil de l’entreprise lui donne largement la parole. Cela permet de montrer d’un point de vue plus corporate les avantages que l’entreprise peut offrir. Les meilleurs profils ont de nombreuses opportunités professionnelles. Créer un lien avec eux afin de leur faire découvrir l’entreprise et de partager son métier est un investissement pour le long terme. De nombreuses études dont celles de LinkedIn montrent qu’investir dans sa marque employeur permet de réduire les coûts du recrutement. Il n’y a pas meilleure publicité pour une entreprise que d’afficher des salariés contents de travailler pour Elle.
La cryptomonnaie africaine est la prochaine révolution fintech
La cryptomonnaie Africaine est encore balbutiante, mais serait déjà très prometteuse. En effet, dans un pays où la stabilité monétaire reste compliquée et l’accès au système bancaire souvent précaire, les monnaies crypto font vraiment sens. Le potentiel semble bien là, tant les possibilités et besoins sont énormes en Afrique. Mais l’adoption de ces monnaies numériques en est encore à ses débuts, comparé à d’autres continents. “La plupart des gens pensent que la cryptomonnaie n’est que de l’argent sur Internet”, Elisha Owusu Akyaw, fondateur de BlockNewsAfrica au Ghana. Et d’ailleurs, aucune monnaie cryptographique africaine n’a pour l’instant percé. LE YUAN NUMÉRIQUE, NOUVELLE MONNAIE ÉLECTRONIQUE CHINOISE L’Afrique, le futur paradis de la cryptomonnaie Avec un nombre croissant d’Africains qui adoptent déjà les services de transfert d’argent par téléphone portable comme M-Pesa, les professionnels du secteur affirment qu’il n’est pas surprenant que la cryptomonnaie gagne rapidement du terrain sur le continent. Les échanges en cryptomonnaies se chiffrent désormais à plus de 300 millions par mois. La cryptomonnaie fonctionne comme l’argent mobile (détenu et échangé par le biais d’un téléphone. Il est donc facile à comprendre pour les Africains. Peut être même plus que pour les Occidentaux qui ont déjà une meilleure intégration financière et un accès facile aux systèmes bancaires. L’Afrique est bien placée pour profiter de l’essor de la cryptomonnaie. Elle dispose d’une génération croissante de jeunes professionnels adaptables et de futurs entrepreneurs. De plus, le taux de chômage élevé dans de nombreux pays africains signifie que les jeunes évitent les secteurs traditionnels et explorent de nouvelles façons de faire du business. Éviter l’instabilité monétaire par le biais d’une nouvelle monnaie Le manque de fiabilité des monnaies locales et l’hyperinflation ont également joué un rôle dans l’essor de la cryptomonnaie africaine. Lorsque le dollar zimbabwéen est monté en flèche en 2015, certains se sont tournés vers les bitcoins. “Maintenant, vous avez cette alternative aux monnaies traditionnelles gérées par le gouvernement, où il y a eu historiquement tant d’erreurs et d’effets secondaires négatifs”, a déclaré à DW Chris Becker. Chris Becker est le responsable des technologies blockchain chez Investec, basé en Afrique du Sud. “Dans le meilleur des cas, l’émergence des cryptomonnaies pourrait en fait aider certaines économies africaines à long terme. Ces monnaies concurrentes fonctionnent en parallèle avec les monnaies nationalesce qui donnera à ces économies un niveau de résilience accru”. L’essor de la cryptomonnaire africaine portée par les envois de fonds de la diaspora La diaspora africaine croissante a également pris le train en marche pour envoyer des fonds à travers les frontières à moindre coût. C’est un mouvement logique, selon l’entrepreneur technologique Emmanuel Darko. “Pour les Africains de la diaspora qui envoient de l’argent chez eux, le coût des transferts bancaires est astronomique”, explique Darko. “Il atteint parfois jusqu’à 20 %. … Mais il existe des cryptomonnaies qui permettent aux gens d’envoyer de l’argent en Afrique gratuitement”. Un service populaire est la société de transfert d’argent BitPesa, basée à Nairobi, la capitale du Kenya. BitPesa utilise Bitcoin comme moyen de transfert d’argent international. Cela permet d’éviter les frais bancaires ainsi que les coûts de conversion de l’argent en différentes devises. L’avenir de la cryptomonnaie africaine entre espoir et risque Certains pays africains s’efforcent de créer de nouvelles lois pour se préparer à un avenir possible où la cryptomonnaie sera la norme. La plus grande économie d’Afrique, le Nigeria, montre la voie. Ayant récemment légalisé la cryptomonnaie, le Nigéria a publié des directives réglementaires pour les monnaies numériques et les entreprises ou start-ups basées sur la cryptomonnaie. Cette nation concentre les acteurs majeurs du secteur. Mais d’autres points chauds de la cryptomonnaie comme l’Afrique du Sud et le Kenya ne sont pas loin derrière. Les principaux régulateurs financiers d’Afrique du Sud ont publié en avril des recommandations pour la réglementation de la cryptomonnaie. En attendant, le Kenya est prêt à expérimenter une taxe numérique à partir de janvier 2021. Ccela pourrait ouvrir la porte à une réglementation plus poussée de la cryptographie. Bien qu’il soit encore trop tôt pour dire à quel point la cryptomonnaie sera adoptée en Afrique, les jeunes Africains devraient probablement envisager de s’y intéresser. “C’est une évidence dans le sens où c’est vers cette tendance que va la finance”, dit Elisha Owusu Akyaw. La cryptomonnaie africaine répond finalement bien aux problématiques du Continent. Risques associés au secteur de la cryptomonnaie africaine Volatilité des cours : La nature même de la cryptomonnaie fait que les prix sont d’abord volatiles. Les monnaies virtuelles ne sont pas réglementées dans la plupart des pays africains et leur statut juridique est souvent flou. Cela signifie qu’il n’existe pas de filet de sécurité pour compenser les pertes de fonds. Les investisseurs à court terme sont plus susceptibles d’être durement touchés par des effondrements soudains. Difficulté pour appréhender le concept : “En raison d’un manque d’éducation, les gens sont induits en erreur par certains schémas qui ne sont pas de la cryptographie”, explique-t-il. “Il est donc conseillé de s’instruire. La cryptographie semble un peu complexe pour beaucoup de gens. Alors qu’en vérité la cryptographie est en fait très simple si vous prenez votre temps pour la comprendre”. Crypto-escroquerie : Les personnes ayant peu d’expérience dans les nouvelles technologies sont les plus exposées au risque d’être victimes d’un nombre croissant de crypto-escrocs. L’Afrique n’échappe pas à cette règle qui s’applique dans tous les pays et sur tous les continents. Une population mal informée ou peu formée est toujours plus vulnérable.
Le Yuan numérique, nouvelle monnaie électronique chinoise
Le Yuan numérique est l’une des premières monnaies électroniques à l’échelle d’un pays. Chandler Guo, l’un des premiers et plus gros mineurs de Bitcoins, voit maintenant une nouvelle force émerger. Il s’agit du système de paiement créé par l’État chinois. Celui ci est connu sous le nom de Digital Currency Electronic Payment ou DCEP. Selon Chandler Guo, le Yuan numérique est en fait une version numérique de la monnaie officielle de la Chine, le yuan. Du fait de l’importance économique de la Chine, le DCEP pourrait devenir une monnaie mondiale dominante. “Un jour, tout le monde utilisera le DCEP”, dit-il, notamment grâce à la diaspora chinoise importante. En effet, 39 millions de chinois vivent hors de Chine. Mais certains se demandent déjà si le yuan numérique ne sera pas utilisé par Pékin pour espionner les citoyens. LA CRYPTOMONNAIE AFRICAINE EST LA PROCHAINE RÉVOLUTION FINTECH Fonctionnement du DCEP, le Yuan numérique Comme Bitcoin, le DCEP utilise une technologie de blockchain, une sorte de grand livre numérisé utilisé pour vérifier les transactions. La blockchain constitue un registre universel de toutes les transactions effectuées sur ce réseau. Les utilisateurs collaborent pour vérifier les nouvelles transactions lorsqu’elles ont lieu. En pratique, cela signifie que les utilisateurs n’ont pas besoin d’une banque. Par exemple, s’ils veulent se payer entre eux avec leur téléphone. La Chine prévoit de lancer le DCEP dans le courant de l’année. Mais jusqu’à présent, la Banque populaire de Chine n’a pas donné de date exacte pour le lancement à l’échelle nationale. La Chine a commencé à tester la monnaie numérique plus tôt cette année dans certaines villes. Une fois déployée, elle permettra aux utilisateurs de relier les portefeuilles électroniques à leurs cartes bancaires, d’effectuer des transactions et de transférer de l’argent. Le Yuan numérique (DCEP) comme monnaie mondiale face au dollar Il est difficile de prévoir le calendrier, mais la Banque populaire de Chine subit une forte pression pour accélérer le développement. En effet, elle ne souhaite pas se retrouver dans un monde où le Diem (la monnaie numérique de Facebook) devient la monnaie mondiale. Le système serait alors plutôt contrôlé par les Etats-Unis, même si la gestion du Diem devrait revenir à une fondation. Les observateurs affirment que la Chine veut internationaliser le yuan afin qu’il puisse concurrencer le dollar. Le gouvernement chinois pense que si d’autres pays peuvent également utiliser la monnaie chinoise, cela peut briser la souveraineté monétaire des États-Unis. Certains systèmes bancaires traditionnels ne peuvent pas servir un pays pauvre. Dans le système traditionnel, si vous n’avez que 10 dollars, une banque ne peut pas vous faire de l’argent, mais avec la monnaie numérique, tout le monde a le droit d’entrer. Le seuil d’entrée est vraiment bas. “Dans les pays pauvres et en Chine, il y a beaucoup de gens qui vivent dans des villages. Ils ont très peu d’argent mais ils utilisent des smartphones. Si vous pouvez acheter un smartphone, vous pouvez utiliser le DCEP”. Le DCEP face au DIEM de Facebook Bien que Facebook ait réduit ses plans pour le Diem, cela reste une préoccupation pour la Chine. Le géant des médias sociaux prévoit de lancer un portefeuille électronique appelé Novi dans le courant de l’année. Il fonctionnera comme une application autonome mais pourra également être disponible sur Messenger et WhatsApp. Les deux parties s’engagent dans une guerre financière, même si aucun affrontement important n’a encore eu lieu. Des observateurs comme Bitfool estiment que la Chine est déjà plus en avance que les États-Unis dans la bataille pour l’avenir de l’argent. Les systèmes de paiement numérique chinois sont largement considérés comme les plus avancés au monde. Le pays est sur le point de devenir une société sans numéraire. En 2019, quatre paiements sur cinq en Chine étaient effectués par le biais de WeChat Pay de Tencent ou d’Alipay d’Alibaba. La monnaie électronique chinoise face à la tentation de surveillance Le Yuan numérique sera centralisé et géré par l’État, contrairement à Bitcoin ou Ethereum qui sont libres de tout contrôle de l’État. De nombreux adeptes de Bitcoin craignent que le DCEP soit utilisé comme un outil pour exercer un plus grand contrôle sur leurs citoyens par le biais de la surveillance. Les autorités pourront contrôler en temps réel la façon dont l’argent est dépensé. Elles auront également les mêmes contrôles sur le DCEP qu’avec le yuan. Le yuan est étroitement contrôlé par Pékin et son taux de change est la source de nombreuses tensions entre les États-Unis et la Chine. Les États-Unis accusent la Chine de maintenir le yuan faible au profit de son économie. “Le DCEP est l’antithèse de Bitcoin. Le but ultime de la blockchain est la séparation de la monnaie et de l’État”, déclare Stewart Mackenzie, un expert en cryptomonnaies basé à Hong Kong. “Il est facile pour eux de dire que c’est comme les bitcoins quand ce sont en fait 2 choses complètement différentes.”. Le DCEP se présente sur une idée de contrôle centralisé. La valeur de Bitcoin réside dans sa nature décentralisée et son isolement du système financier. Nous verrons si les acteurs économiques font réellement confiance au Yuan numérique dans les prochaines années.
Les startups brésiliennes à suivre en 2021
Les startups brésiliennes à suivre en 2021 Le nombre de startups brésiliennes a augmenté de façon presque effrayante. Beaucoup d’entre elles sont devenues des licornes. Ce fut le cas de Vtex récemment qui est devenue la 12ème startup valorisée plus d’un milliard de dollars au Brésil. D’autres entreprises innovantes suivent également la même voie de croissance du marché. Nombre d’entre elles sont considérées comme très prometteuses pour 2021. Voici donc la liste des 6 Startups brésiliennes à surveiller en 2021. LES START-UPS BRÉSILIENNES REÇOIVENT DES INVESTISSEMENTS RECORDS EN 2020 Olist, la startup brésilienne qui propulse 25.000 petits commerçants Olist est l’une des startups les plus prometteuses de 2021. Elle pourrait même figurer sur la liste des prochaines licornes brésiliennes. L’entreprise est originaire de Curitiba. Olist développe des solutions pour augmenter les ventes des détaillants sur son marché. Olist permet actuellement à 25 000 petits commerçants brésiliens d’accéder aux principales plateformes de marché telles que MercadoLibre et Amazon.com. L’objectif est de le lancer dans d’autres pays à partir de 2021. Déjà en 2019, Olist avait un grand potentiel de croissance, à tel point qu’elle était l’une des entreprises qui ont reçu des investissements de SoftBank. La société, qui est soutenue par le groupe SoftBank, a vu son chiffre d’affaires doubler cette année. En effet, les Brésiliens se tournent vers le commerce électronique dans le contexte des restrictions imposées par le virus. Elle prévoit d’élargir la gamme de services fournis aux commerçants avec l’acquisition, pour laquelle elle n’a pas divulgué de valeur de transaction. Docway, le concurrent brésilien de Doctolib C’est le concurrent brésilien de Doctolib ! Docway a eu l’idée innovante en 2015 de ramener le médecin chez le patient au lieu de l’inverse. La start-up brésilienne propose des services de télé-consultation. Il n’a pas fallu longtemps à la start-up de Curitiba pour déplacer son siège dans la ville de São Paulo. Cela lui a notamment permis d’étendre le réseau de services à l’ensemble du pays. Grâce à la pandémie et au confinement lié, la société a intégré la révolution de la téléconsultation à grande échelle. Ainsi, tant les professionnels que les patients inscrits sur la plateforme ont pu prendre leurs rendez-vous médicaux par le biais d’appels vidéo. Compte tenu des perspectives de 2021, l’avenir de Docway semble tout tracé pour devenir l’une des startups brésiliennes les plus prometteuses de 2021. Social Miner, la startup du People Marketing basée sur l’IA Social Miner est une startup qui se concentre sur l’évaluation du comportement des consommateurs en ligne et l’humanisation de ces clients. Ces informations sont utilisées pour aider les marques dans leurs stratégies de marketing et de vente. La proposition est que les marques comprennent les besoins réels, les habitudes et les recherches des clients, et créent des campagnes et des processus plus humanisés. Selon la start-up, ce processus d’humanisation de la clientèle, fait augmenter les ventes des e-commerces et l’impression favorable des marques. Fondée en 2014, basée à São Paulo, Social Miner a développé une plateforme “SaaS” (software as a service) pour le commerce électronique et les détaillants. Leur solution propose des mécanismes pour augmenter les ventes, engager les consommateurs, convertir les visiteurs en inscriptions ou en achats. Enfin, le Saas diminue le coût d’acquisition des clients en utilisant le big data et l’intelligence artificielle. “Grâce à l’intelligence artificielle, au big data et au machine learning, nous pouvons définir le meilleur moment pour avoir un impact sur l’utilisateu. Avec du contenu individualisé, amené par le bon canal, les ventes augmentent et les coût média se réduisent. Selon le fondateur de la startup brésilienne, le coût d’acquisition de nouveaux utilisateurs diminue pour ses clients. La solution permettrait même de mieux fidéliser les clients dans le temps. Gupy, la plateforme du recrutement des talents en plein essor La tâche du recrutement et de sélection des talents pour les entreprises est devenue beaucoup plus facile après la création de Gupy en 2015. La startup est une plateforme où les entreprises peuvent effectuer l’ensemble du processus de sélection, des entretiens et de l’embauche en ligne. Avec des géants tels que O Boticário et Ambev dans sa liste de clients, Gupy a révolutionné la façon dont les petites et grandes entreprises trouvent des employés. Pendant la pandémie, le service est devenu essentiel pour les entreprises. La solution de Gupy a permis de ne pas interrompre leur processus de sélection même pendant la crise. L’entreprise a reçu un investissement de plus de 40 millions de R$ dernièrement. De nouveaux relais de croissance s’annoncent déjà pour la plateforme brésilienne. Le processus de formation des nouveaux stagiaires de O Boticário se fera également par le biais de la plateforme. Descomplica, la Edtech qui explose avec le confinement La startup Descomplica a pour mission de proposer des cours en ligne et à bas prix pour les étudiants de tout le Brésil. Depuis 2011, la startup se propose comme une option pour les étudiants qui souhaitent s’entendre avec l’ENEM. C’est actuellement le plus grand outil de ce type sur Internet. Et si l’on en juge par les succès de WeSchool en Italie, d’Unacadamy en Inde et de bien d’autres, la start-up brésilienne a de beaux jours devant elle ! En 2020, en plus des cours du lycée, Descomplica a également lancé sa plateforme de cours de troisième cycle. Pour ce nouveau produit, la start-up a compté avec une contribution de 55 millions de R$ cette année. L’idée d’une éducation accessible à tous reste le plus grand objectif de la startup. Conta Azul, la star-up qui aide les startups brésiliennes Conta Azul offre une plateforme de gestion d’entreprise pour les micro et petites entreprises. Cet outil représente une innovation dans la manière de gérer les petites entreprises. En effet, grâce à elle, en plus des tâches quotidiennes, le commerçant a un accès direct aux procédures bancaires, avec le gouvernement et d’autres. C’est l’application tout en un qui séduit de plus en plus d’entrepreneurs. Ce sera surement l’une des startups
Les start-ups brésiliennes reçoivent des investissements records en 2020
Les start-ups brésiliennes ne connaissent pas la crise ! Au Brésil, l’année 2020 a pourtant été marquée par la crise Covid-19. Cette crise a entrainé une baisse d’environ 4,5 % du PIB du pays. Record de levées de fonds en 2020 pour les Start-ups Brésiliennes L’organisation Distrito, qui regroupe dans son portefeuille des entreprises d’innovation et de technologie, a établi un rapport sur 2020. Les start-ups brésiliennes ont levé 3,5 milliards de dollars US (l’équivalent de 18,6 R$ au taux commercial actuel du dollar), atteignant ainsi son record historique. Ce montant représente une croissance de 17 % par rapport à 2019. En effet, en 2019, les startups nationales ont levé 2,9 milliards de dollars. Un nombre record d’opérations réalisés pour le Brésil Le volume des transactions effectuées a également été record, passant de 408 en 2019 à 469 levées de fonds en 2020. Selon l’analyse, les plus gros tours de table en investissements ont été réalisés dans Neon et VTEX. Ils ont en effet reçu respectivement 300 et 225 millions de dollars en septembre. Egalement, on notera des investissements réalisés en décembre dans Creditas et C6 fintechs, avec une contribution de 200 millions de dollars chacun. LES STARTUPS BRÉSILIENNES À SUIVRE EN 2021 Les investisseurs brésiliens retrouvent rapidement la confiance après le Covid Selon Gustavo Gierun, cofondateur de Distrito, l’année dernière a commencé à être prometteuse. La crise du coronavirus aura été temporaire pour le secteur, car les investisseurs ont rapidement retrouvé la confiance après le choc de la récession au deuxième trimestre 2020. “Compte tenu du scénario social et économique en 2020, il ne fait aucun doute que nous avons eu une année surprenante pour les start-ups brésiliennes. 2019 a été spectaculaire et les attentes pour 2020 ont été très positives. L’année a commencé en fanfare avec le Loft qui est devenu une licorne. Les mois de janvier et février ont battu des records pour la période. En mars et avril, cependant, nous avons suivi un léger ralentissement, dans un contexte d’incertitude extrême de la part des investisseurs. Au fil du temps, les investisseurs ont repris confiance. Les grandes entreprises ont accéléré leur recherche de solutions numériques, créant ainsi un environnement fertile pour les nouvelles entreprises. Une fois de plus, le marché de la technologie et de l’innovation a prouvé sa résilience et sa vision à long terme”, déclare M. Gierun. Les investissements réalisés dans les premiers stades – amorçage et pré-amorçage- ont totalisé 337 demandes sur un total de 469. Toutefois, le pourcentage le plus élevé du montant apporté a été enregistré dans les entreprises plus matures – séries A et G et secteur du capital-investissement – qui ont reçu 3,2 milliards de dollars. Des fusions et acquisitions également au plus haut pour les start-ups brésiliennes Les fusions et acquisitions de start-ups ont également atteint un record, avec une croissance de 154 % par rapport à 2019. En termes absolus, il y a eu 163 fusions et acquisitions en 2020 contre 64 en 2019.
Les levées de fonds indiennes au plus bas depuis 2016
Les levées de fonds indiennes en 2020 n’atteignent pas les 10 milliards de dollars. Pour la première fois depuis 2016 ! La pandémie de coronavirus est passé par là ! Les startups indiennes ont levé moins de fonds en 2020 qu’en 2019. Le Covid a ralenti la conclusion d’accords pour les start-ups en Inde cette année. Levées de fonds indiennes : 14.5 milliards en 2019 contre 9.3 milliards en 2020 Par rapport à leur collecte de fonds record de 14,5 milliards de dollars l’année dernière, les startups indiennes terminent l’année 2020 avec environ 9,3 milliards de dollars. C’est la première fois depuis 2016 que les startups indiennes, l’une des plus grandes communautés de startups au monde, ont levé moins de 10 milliards de dollars en un an, selon le cabinet de conseil Tracxn. Le nombre de transactions est passé de 1 185 l’année dernière à 1 088 en 2020. Il y a également eu moins de tours de table de grande envergure. Les tours de table d’une taille de 100 millions de dollars ou plus sont passés de 26 en 2019 à 20 (ces tours ont permis de lever 3,6 milliards de dollars cette année, contre 7,5 milliards l’année dernière). Et de même les tours de table d’une taille de 50 à 100 millions de dollars sont passés de 27 à 13. Ces chiffres ne comprennent pas les investissements dans le géant des télécommunications Jio Platforms. En effet, à lui seul il a levé plus de 20 milliards de dollars cette année. LES 10 FONDS DE CAPITAL VENTURE INDIENS LES PLUS ACTIFS ENTRE 2014 ET 2020 Des facteurs comme le Covid et l’absence de gros investisseurs expliquent cette baisse des investissements dans les startups indiennes Malgré le ralentissement, les levées de fonds indiennes ont connu un rebond important au cours du second semestre de cette année. Au cours du premier semestre, les start-ups du deuxième marché Internet mondial n’avaient levé que 4,2 milliards de dollars sur environ 461 transactions, a déclaré M. Tracxn. Outre le coronavirus, qui a eu un impact sur les start-ups du monde entier. Un autre facteur qui a affecté la conclusion de ces transactions a été l’absence – ou la participation réduite – de certains des plus gros investisseurs. L’impact des investisseurs chinois Tencent et Alibaba plus réduit en 2020 Des géants chinois comme Alibaba – et sa filiale Ant Group – et Tencent ont fait moins de chèques cette année à des startups indiennes, dans un contexte de tension entre les deux pays voisins. SoftBank a également fourni moins de capitaux, car nombre de ses sociétés de portefeuille très en vue, dont Paytm, Oyo Rooms et Ola, n’ont pas levé de fonds. Certaines startups indiennes ont néanmoins pu profiter de la crise du covid Mais le virus a également accéléré la croissance de certaines startups. Le Byju’s est maintenant évalué à plus de 11 milliards de dollars, contre 8 milliards en janvier de cette année. Unacademy dont on vous parlait, une autre startup très en vue dans le domaine de l’apprentissage en ligne, a levé deux tours au plus fort de la pandémie. Sa valeur passe ainsi d’environ 500 millions de dollars en février 2020 à plus de 2 milliards de dollars. Bond, une entreprise créée par Mary Meeker et d’autres investisseurs de renom, a soutenu Byju’s cette année. Bond estime que la valeur de Byju’s dépassera les 30 milliards de dollars dans trois ans, a déclaré à TechCrunch une personne qui a été informée par la société d’investissement. Plusieurs startups en Inde fonctionnant sur un modèle SaaS et desservant des clients du monde entier ont également pris de l’élan cette année. De nouvelles licornes indiennes en 2020 grâce à des levées de fonds importantes 11 startups indiennes, dont RazorPay, Unacademy, DailyHunt et Glance, sont devenues une licorne cette année. Google et Facebook ont fait quelques gros chèques à des entreprises indiennes cette année. Google a soutenu Glance et DailyHunt tandis que Facebook a investi dans Unacademy. Ces deux entreprises ont également investi dans Jio Platforms en 2020. Les activités de fusions-acquisitions se sont accélérées cette année. Byju’s a acquis WhiteHat Jr pour 300 millions de dollars, tandis qu’Unacademy a acquis PrepLadder. Cette startup qui offre des cours destinés aux étudiants en médecine, pour 50 millions de dollars en juillet. Elle a également mené un tour d’investissement de 5 millions de dollars pour acquérir une participation majoritaire dans Mastree. L’ÉCOSYSTÈME STARTUP INDIEN : POIDS LOURD DE LA TECH Des IPO prévues pour les startups indiennes Mais pour la première fois, les startups indiennes sont sur le point de voir un autre type de sortie. Zomato, Flipkart, et Policybazaar font partie des startups qui prévoient d’entrer en bourse l’année prochaine. Les analystes de Bernstein ont identifié Paytm, Byju’s, PhonePe et Delhivery parmi celles qui pourraient également entrer en bourse d’ici 2022.
Pologne : le nombre de startups polonaises a doublé entre 2015 et 2020
Il existe actuellement environ 4300-4700 startups polonaises, dont 60 % sont des entreprises purement informatiques et TIC, selon les données publiées par Google pour les Startups. Il y a seulement cinq ans, il y avait deux fois moins d’entreprises de ce type en Pologne. Des Startuppers polonais qui mûrissent et développent des Saas Le rapport préparé par Google pour Startups, Startup Poland et Kantar montre également que l’âge des fondateurs de startups augmente progressivement. Il y a cinq ans, le groupe le plus nombreux avait généralement moins de 30 ans. Aujourd’hui il s’agit de plus en plus souvent de personnes de plus de 40 ans. Comme en 2015, l’activité dominante est désormais la vente B2B, consistant en développement de logiciels. Le plus souvent sur le modèle SaaS (34 % des entreprises observées). La grande majorité des start-ups en Pologne sont en phase de construction d’un produit (31 %) ou de test du marché (29 %). Lever des fonds est facilité pour les start-ups en Pologne Selon les auteurs du rapport, les cinq dernières années ont également vu une amélioration des chances des start-ups d’obtenir un financement. Actuellement, il est deux fois plus facile de lever des fonds auprès des fonds de capital-risque. Statistiquement, 32 % des start-ups parviennent à entamer des négociations avec un investisseur. Enfin, 69 % d’entre elles obtiennent un financement. En 2019, la start-up polonaise moyenne a levé environ 30 % de fonds en plus qu’en 2017, et près de 10 % de celles qui ont levé des fonds ont obtenu un montant supérieur à 10 millions de PLN (environ 2.2M€). Selon Google for Startups, un tel chiffre était impressionnant il y a cinq ans ; aujourd’hui, il n’est plus une exception. ALLEGRO, LA STARTUP POLONAISE DU ECOMMERCE ENTRE EN BOURSE Des changements juridiques propices aux startups polonaises Le bon état de l’industrie est également influencé par les changements juridiques favorables à l’innovation intervenus au cours des cinq dernières années. La grande loi sur l’innovation de 2018 (précédée par la petite loi sur l’innovation) a porté à 100 % l’allégement fiscal pour la recherche et le développement (R&D). Cela a également permis d’élargir le catalogue des coûts éligibles à cet allégement. La loi de 2018 a également élargi le catalogue des coûts éligibles à cette aide pour inclure, entre autres, les formes d’emploi autres que les contrats de travail. Grâce à ces changements, le nombre d’entrepreneurs profitant de l’allégement fiscal pour la R&D a augmenté de 60 % en 2019. Google for Startups est une division mondiale de Google, qui s’occupe de soutenir le développement des startups. Il y a cinq ans, Google a ouvert son Campus en Pologne. Dans les locaux de l’usine de vodka Koneser revitalisée à Varsovie. Un espace pour les entrepreneurs en démarrage et un lieu pour les événements et les programmes qui accélèrent le développement des start-ups. LA POLOGNE : PROCHAINE START UP NATION EUROPÉENNE