Comparaison MYM et OnlyFans : Modèles, Chiffres et Fonctionnalités

Comparaison MYM et OnlyFans : Modèles, Chiffres et Fonctionnalités Dans le domaine du contenu exclusif en ligne, deux plateformes dominent : MYM et OnlyFans. Ces géants offrent aux créateurs de contenu des opportunités de monétisation et donnent accès à du contenu privé à leurs abonnés. Cependant, ces plateformes se distinguent sur plusieurs aspects, notamment leur histoire, leur modèle économique, leurs fonctionnalités et leurs programmes de parrainage. Cet article détaillera ces différences pour vous aider à faire le bon choix selon vos besoins. Histoire et popularité de MYM et OnlyFans OnlyFans, le pure player anglais depuis 2016 Créée en 2016 par Tim Stokely, OnlyFans est une plateforme britannique permettant aux créateurs de proposer des abonnements payants à leur contenu exclusif. Bien que son concept initial ressemble à celui de Patreon, OnlyFans s’est rapidement démarqué par son approche permissive du contenu pour adultes. L’acquisition en 2018 de 75% des parts par Leonid Radvinsky, un entrepreneur américain du secteur du divertissement pour adultes, a contribué à la croissance fulgurante de la plateforme. Enfin, la pandémie de COVID-19 a permis de booster les connections aux sites. Aujourd’hui, OnlyFans est un acteur mondial incontournable avec des millions d’utilisateurs actifs. MYM, le challenger français depuis 2019 Lancée en 2019 en France, MYM (“Meet Your Model” or “Me. You. More.”) s’adresse principalement à un public francophone. Encore jeune par rapport à OnlyFans, elle gagne en popularité, notamment en Europe francophone. MYM veut se positionner comme une plateforme plus large en termes de créateurs, incluant des influenceurs, des artistes, des musiciens, et des coachs fitness. Même si dans la réalité, le gros du contenu est encore généré par l’industrie adulte. MYM met l’accent sur la personnalisation de l’interaction entre les créateurs et leurs fans, tout en offrant une expérience utilisateur plus adaptée aux créateurs francophones. En 2022, DJ Snake participe à une augmentation de capital dont le montant n’est pas connu. Et en 2023, MYM devait réaliser une nouvelle levée de fonds pour attaquer le marché américain mais cette levée de fonds n’a semble-t-il pas eu lieu. Modèle économique et taux de commission OnlyFans, simplicité dans la tarification Le modèle de monétisation d’OnlyFans repose principalement sur les abonnements mensuels. Les créateurs fixent un prix pour leur contenu, auquel les abonnés peuvent accéder de manière récurrente. En plus des abonnements, les créateurs peuvent vendre du contenu à la carte via des messages privés payants et recevoir des pourboires de leurs fans. OnlyFans prend une commission de 20 % sur les revenus générés par les créateurs, un taux relativement compétitif par rapport à d’autres plateformes de contenu exclusif. MYM, flexibilité à la carte À l’inverse, MYM propose un modèle de monétisation plus flexible. Les créateurs peuvent fixer des tarifs pour chaque contenu privé, sous forme de photos ou vidéos à la carte. En plus des ventes directes, MYM propose aussi un système d’abonnement, mais sa commission sur les revenus des créateurs est de 20-25% , supérieure à celle d’Onlyfans. De plus, MYM se distingue par des options telles que les pourboires et le contenu personnalisé sur demande, permettant aux créateurs d’avoir plusieurs sources de revenus. Chiffres clés : Revenus, abonnés et créateurs OnlyFans, le géant international du secteur OnlyFans a connu une croissance impressionnante depuis son lancement. En 2021, la plateforme a déclaré plus de 2 milliards de dollars de chiffre d’affaires, avec plus de 150 millions d’utilisateurs inscrits et plus de 2 millions de créateurs de contenu. Le succès de la plateforme a été grandement amplifié par la participation de célébrités et d’influenceurs qui ont attiré des abonnés du monde entier. En 2023, Onlyfans a généré 6.6 milliards de dollars (6 milliards d’euros), soit 1 milliard de dollars de plus qu’en 2022. La plateforme a gagné 50 millions d’utilisateurs pour un total de 305 millions de comptes fans et atteint 4.6 millions de comptes créateurs ! Elle aura versé 426 millions d’euros de dividendes. MYM, 15 fois plus petit que son concurrent mais en forte croissance ! MYM, bien qu’encore jeune, compte plus de 14 millions d’utilisateurs, avec plus de 300 000 créateurs actifs en 2024. La plateforme est particulièrement populaire en France et en Europe francophone, mais elle commence à étendre son influence à l’international. En termes de revenus, MYM ne publie pas de chiffres aussi détaillés qu’OnlyFans, mais le chiffre d’affaires de la plateforme serait de 60M€ en 2022 (avec une commission pour la plateforme autour des 12M€). Les fondateurs espéraient atteindre 250M€ de chiffre d’affaires pour 2023 lorsqu’ils cherchaient à lever des fonds. Fonctionnalités et outils pour les créateurs OnlyFans, le plus simple OnlyFans propose plusieurs outils pour ses créateurs, notamment la possibilité de vendre du contenu privé via des messages directs, des options de pourboires et des offres d’abonnement personnalisées. Les créateurs peuvent également envoyer des messages de masse payants (PPV) à leurs abonnés, augmentant ainsi leurs opportunités de revenus. Cependant, la personnalisation des profils et des fonctionnalités reste relativement limitée, comparée à MYM. MYM, le plus personnalisé MYM se distingue par une gamme plus large de fonctionnalités. En plus des abonnements et des ventes de contenu privé, la plateforme propose des fonctionnalités avancées telles que le “Push Media”, permettant aux créateurs d’envoyer du contenu bonus directement à leurs abonnés. MYM propose également un programme “SuperStar”, qui récompense les créateurs les plus actifs et performants par une meilleure visibilité et des taux de commission améliorés. Modération et types de contenu OnlyFans, plus libre dans le type de contenus, et très NSFW OnlyFans autorise une large gamme de contenus, y compris du contenu pour adultes. Cependant, cette approche a suscité des controverses et une image publique parfois négative. En 2021, OnlyFans a brièvement annoncé une interdiction du contenu pour adultes, avant de revenir sur cette décision face aux réactions massives de la communauté des créateurs. MYM, plus équilibré dans le type de contenus MYM, bien qu’autorisant également le contenu pour adultes, se montre plus strict sur la modération et maintient une politique de contenu plus professionnelle. Les créateurs doivent soumettre leurs contenus à un processus
Diskuta, la startup qui monétise intelligemment les followers

Diskuta, la startup qui monétise intelligemment les followers Diskuta permet aux influenceurs de monétiser leurs communautés. Comment ? En appelant leurs fans et en étant rémunérés pour ça ! Concrètement, la startup met en relation des influenceurs avec des followers qui souhaitent leur parler en direct. Le principe est vraiment de discuter (d’où le nom « Diskuta ») avec son influenceur préféré comme avec un ami à qui on demande des nouvelles ou des conseils. Les influenceurs mettent à disposition des créneaux d’appels en fonction de leurs disponibilités. Ensuite, ils définissent le prix de l’appel que leurs followers devront payer pour discuter avec eux. Leurs followers n’ont plus qu’à réserver un créneau pour discuter. Diskuta : des appels avec sa communauté pour monétiser son influence « Notre but est de créer une nouvelle source de revenus pour les influenceurs et de délivrer du bonheur aux followers. » > Des revenus supplémentaires pour les influenceurs La startup française Diskuta répond au souhait de bon nombre d’influenceurs d’arriver à vivre de leur activité de création de contenus. Les influenceurs qui proposent un contenu inspirant à leurs followers peuvent partager leur expertise et leurs idées avec leurs followers. Pour le créateur de contenu, la stratégie est simple « Appelez. Gagnez. » comme le dit le site. Plus il passe d’appels, plus il gagne. Le site prend une commission mais ne facture pas d’abonnement. “On ne gagne que si l’influenceur gagne avec nous, c’est honnête.“. Un influenceur moyen peut rapidement gagner plus de 100€ en une heure, tout en ayant une vraie valeur ajoutée pour son follower. Les tarifs des influenceurs sur Diskuta varient en fonction de leur renommée et de ce qu’ils peuvent apporter au follower. Le temps limité des influenceurs et la forte demande pour des appels personnalisés font grimper les prix qui sont généralement compris entre 25€ et 50€ par appel, voire plus pour certaines célébrités. Un influenceur moyen peut rapidement gagner plus de 100€ en une heure, tout en ayant une vraie valeur ajoutée pour son influenceur. Loin de polémique des influ-voleurs ! > Plus de proximité et d’engagement pour leurs communautés Le but de la plateforme d’appels Diskuta est aussi d’aider les influenceurs à renforcer le lien qui les unit à leurs followers. Concrètement, personnaliser la relation avec des followers engagés, c’est les convertir encore plus et les transformer en ambassadeurs. Cela créé de la proximité. Les créateurs de contenu utilisent Diskuta comme une façon de renforcer leur communauté et de partager leur expérience et expertise. « On peut les appeler en direct, on peut leur parler. Ca donne encore plus envie de les suivre et de les aider dans leurs projets personnels ou professionnels. » Les influenceurs peuvent aller plus loin pour servir leur communauté, mais au sens large cette fois, en proposant des appels caritatifs ! Les gains sont alors reversés directement à l’association par la plateforme. > Des appels en toute sécurité pour les influenceurs sur Diskuta Pour assurer une bonne sécurité, les influenceurs ne partagent pas leur numéro de téléphone. Le module d’appel est intégré directement sur la plateforme. Et les appels ne sont pas visibles ni enregistrés par Diskuta, ils sont strictement privés ! > Du contenu personnalisé et des conseils pour le follower L’appel en tête à tête est aussi une vraie opportunité pour le follower de discuter de façon plus personnalisée. Discuter avec son idole, qui n’en a pas rêvé ?! Diskuta offre la possibilité de parler en « face to face » comme on parlerait à un ami sur whatsapp ou sur FaceTime. On peut discuter de tout et de rien, mais aussi demander des conseils. De nombreux influenceurs ont un domaine d’expertise, comme la mode, le sport, les voyages. Les followers inspirés par leurs contenus sont intéressés pour obtenir des conseils d’experts. De quoi parle-t-on avec les influenceurs sur Diskuta ? 3 exemples. Sur Instagram, Tiktok ou encore Youtube, les influenceurs sont partout et parlent de tout. Chaque influenceur développe son univers avec un domaine d’expertise. Prenons quelques exemples : > Influenceur Sportif, pour du coaching et un vrai retour d’expérience Refaire le match avec son sportif préféré, qui n’en a pas rêvé un jour ? Diskuta l’a fait ! Un sportif de son côté pourra parler de ses matchs et compétitions avec d’autres passionnés. Certains followers voudront certainement connaitre ses entrainements, voire être mentorés dans leurs propres entrainements pour continuer de progresser. Des parents dont l’enfant est passionné de sport seront aussi intéressés pour lui faire rencontrer une star du milieu. Inspiration garantie ! > Influenceur Lifestyle, l’inspiration au cœur des appels Diskuta ! Lifestyle, c‘est très large. En fonction de leur expertise reconnue, certains influenceurs peuvent guider leur communauté pour investir, pour voyager ou même préparer un tour du monde. Via les appels Diskuta, ces influenceurs peuvent tout simplement devenir des « role models » pour leurs followers. En les inspirant pour atteindre des objectifs qu’ils ont atteint par exemple. Une motivation forte ! > Influenceuse Mode, pour des conseils vestimentaires personnalisés Une influenceuse spécialisée dans la mode peut raconter comment se passent les photoshoots (le « behind the scene »), comment elle choisit les vêtements qu’elle porte ou les marques avec lesquelles elle collabore. De même, une miss pourra expliquer son parcours, et aider à la préparation des nouvelles prétendantes. Mais elle pourra aussi prodiguer des conseils de mode ou sa routine fitness à ses followers ! Si les fans la suivent, c’est qu’elle les inspire. Si elle les inspire, elle peut les conseiller !
Visitorama, l’application digitale des Offices de tourisme

Visitorama, l’application digitale des Offices de tourisme Aujourd’hui le Startuppers’ Club vous présente Visitorama, une application de voyage de qualité. On pourrait se dire « pourquoi une nouvelle application de voyage ? ». Mais le concept de Visitorama est assez innovant et bien adapté aux nouvelles pratiques du tourisme. L’application s’appuie sur la compétence des offices de tourisme, tout en l’adaptant à une utilisation digitale. Visitorama adapte les offices de tourisme aux nouvelles pratiques du tourisme Visitorama s’adapte 3 grandes nouvelles tendances du tourisme pour proposer une solution flexible. Première tendance de fond, les recherches touristiques se font de plus en plus sur mobile. Le site et l’application proposée par Visitorama sont optimisées pour ces usages. Deuxième tendance touristique, les digital natives ont tendance à moins anticiper leur voyage et à se renseigner directement sur place. C’est là que se crée la valeur de Visitorama. En effet, les touristes peuvent trouver facilement toutes les informations nécessaires à leur visite en temps réel. Dernière grande tendance, les réservations sont maintenant faites directement via internet. “Là aussi, nous avons un rôle à jouer. Il est compliqué d’avoir un portail de réservation unifié. Nous voulons proposer un lien de réservation pour chaque activité réservable. Le projet de la plateforme Alentour pourrait bien aider dans cette démarche !”, selon David, le fondateur. Marier la qualité de l’information des offices de tourisme avec la technologie Visitorama L’information de qualité donnée aux touristes, Visitorama en fait un point d’honneur. L’information proposée sur le site et l’application est fournie par les Offices de Tourisme. « J’aime penser que nous amenons l’Office de Tourisme dans la poche des gens », souffle le fondateur. « Nous sommes au service des Offices de tourisme pour les aider à donner la bonne information au bon moment ». Les professionnels du tourisme peuvent donc proposer des visites et des circuits pour découvrir leurs villes. La dimension régionale des circuits est aussi intégrée : « Notre idée est de pouvoir réaliser des parcours départementaux ou régionaux autour de thématiques. Cela pourrait permettre de gérer les flux touristiques et d’améliorer l’expérience du touriste. ». Enfin, les offices de tourisme restent au centre de l’activité de conseil. « Le but de Visitorama est de rapprocher les OT des visiteurs. Nous avons donc créer un bouton d’appel à l’OT en un clic. Notre utilisateur peut ainsi contacter l’office de tourisme compétent sur chaque activité ou circuit. L’information est délivrée au bon moment ! ». Conseil et « Expérience Visiteur » mis à l’honneur Visitorama se revendique comme le bras digital des Offices de Tourisme et prend sa mission de conseil très à cœur. L’application se veut donc impartiale dans ses recommandations. La plupart des applications se rémunèrent avec de la publicité ou des rétrocommissions sur les activités réservées. Or ce business model ne permet pas de conseiller au mieux les visiteurs. L’application a donc décidé de ne percevoir aucune commission et n’affiche pas de publicité pour conserver une bonne expérience utilisateur. Les recommandations sont réalisées en accord avec l’Office de Tourisme local. Enfin, cerise sur le gâteau mais au combien d’actualité, elle ne tracke pas ses utilisateurs. Selon son fondateur, l’application de voyage Visitorama fait de l’amélioriation de l’Expérience Visiteur une priorité. La solution technologique a été optimisée pour fournir en un clic les bonnes informations, la bonne carte Google et du contenu en plusieurs langues. « Nous avons réalisé un travail d’optimisation important pour proposer l’application à la fois en version site internet et en application, mais je suis certain que ça va fonctionner. A long terme, le référencement internet va amener de nombreux visiteurs sur notre site et ils pourront prolonger leur expérience avec l’application pour une expérience encore optimisée. »
Call My Mentor, les pros vous donnent des conseils pour votre carrière gratuitement

Call My Mentor, les pros vous donnent des conseils pour votre carrière gratuitement Aujourd’hui, le Startuppers Club vous présente la startup Call My Mentor ! En tant qu’étudiant ou en période de réorientation, on se pose toujours beaucoup de questions quant à son avenir sans parvenir à trouver les bonnes réponses. CallMyMentor vous met justement en relation avec ceux qui peuvent le mieux vous donner ces réponses : les professionnels déjà en poste. Call My Mentor, le Career Center dont vous avez toujours rêvé ! En effet, imaginons que vouliez devenir expert-comptable mais le parcours ne vous semble pas limpide et le métier un peu ésotérique. Vous pouvez alors trouver quelqu’un qui s’y connait vraiment sur la plateforme Call My Mentor : un expert-comptable. Son profil vous renseigne sur son métier et son entreprise. Il peut avoir déjà rempli ce qu’il aime bien dans son métier pour donner de premières indications. Son agenda vous permet de trouver l’une de ses disponibilités pour un appel dans la semaine. D’un clic vous proposez à ce mentor de vous rappeler en lui indiquant quelle est sa diponibilité qui vous convient le mieux. Le mentor vous rappelle durant cette plage horaire pour répondre à toutes vos questions avec un oeil professionnel sur la question. L’inscription en tant que mentee prend dans les 30 secondes. Les mentees ne créent pas de profils publics pour limiter l’exposition de données d’un public potentiellement jeune. Et cerise sur le gâteau, le service Call My Mentor est gratuit pour tous les mentees ! Ceux qui ont besoin de réponse parce qu’ils sont étudiants, en recherche d’emploi ou encore en reconversion professionnelle… Selon David Giard, fondateur de Call My Mentor, “Cela peut permettre à de bons profils qui n’ont pas toujours le bon réseau d’accéder aux bonnes informations. Cette idée s’inspire directement du mouvement Tech for Good.” Les mentors entre engagement social et recrutement de futurs collègues L’inscription prend 5 minutes en demandant nettement moins d’informations qu’un profil LinkedIn. Les mentors donnent leurs disponibilités pour répondre aux questions de leurs mentees. Quand on travaille toute la semaine, on a peu de temps. Le site l’a bien compris et limite à 3 le nombre d’appels de 20 minutes par mentor et par mois. L’engagement pour le mentor est d’une heure par mois seulement. Pas mal pour faire le bien autour de soi ! Inscription en 5MN et maximum 1H/Mois de bénévolat par mentor Lorsqu’un mentee est intéressé par un mentor, une notification est envoyée au mentor pour qu’il puisse rappeler le mentee et le renseigner. En aucun cas, les données du mentor ne sont transmises pour éviter tout démarchage ou harcèlement. Pour les mentors, c’est un engagement bénévole et social. C’est donner une heure pour avoir un impact positif sur la société, aider ceux qui n’ont pas le réseau pour trouver les informations aussi. Mais certains mentors ont déjà compris l’utilité du service rendu par Call My Mentor : Détecter les futurs talents qui deviendront leurs collègues demain ! Motivé pour faire le bien autour de vous? Déjà en poste (même depuis peu de temps) ? Devenez mentor sur Call My Mentor Quel expérience Call My Mentor offre-t-elle à ses mentors ? Bénévolat et liberté : C’est la base de l’action des mentors de cette startup. Le mentor n’est pas rémunéré, pas intéressé directement pour vous répondre. Il le fait librement, sans la pression d’une efficacité trop liée à son environnement professionnel. Cela assure une bonne franchise des informations, clé de la réussite du projet. Le mentor est libre de dire ce qu’il pense de son métier et de son entreprise. Disponibilité : Les mentors sont invités à proposer une ou des plages horaires dans la semaine pendant lesquels ils sont disponibles pour échanger avec les mentees. Et comme les professionnels n’ont pas un temps extensible, les appels sont limités à 3 par mois de 20mn chacun, soit une heure par mois maximum. Confidentialité : Les numéros des mentors ne sont pas transmis et la plateforme vous indique comment téléphoner à vos mentees en appel masqué. Il suffit de composer le #31# avant le numéro de votre mentee et le tour est joué ! Call My Mentor propose aux entreprises d’améliorer leur marque employeur Il n’y a pas meilleure publicité pour une entreprise que d’afficher des salariés contents de travailler pour Elle. Call My Mentor surfe sur cette idée en proposant aux entreprises de créer un profil qui rassemble les mentors impliqués. Le RH de l’entreprise n’est pas oublié non plus, puisque le profil de l’entreprise lui donne largement la parole. Cela permet de montrer d’un point de vue plus corporate les avantages que l’entreprise peut offrir. Les meilleurs profils ont de nombreuses opportunités professionnelles. Créer un lien avec eux afin de leur faire découvrir l’entreprise et de partager son métier est un investissement pour le long terme. De nombreuses études dont celles de LinkedIn montrent qu’investir dans sa marque employeur permet de réduire les coûts du recrutement. Il n’y a pas meilleure publicité pour une entreprise que d’afficher des salariés contents de travailler pour Elle.
Les startups brésiliennes à suivre en 2021

Les startups brésiliennes à suivre en 2021 Le nombre de startups brésiliennes a augmenté de façon presque effrayante. Beaucoup d’entre elles sont devenues des licornes. Ce fut le cas de Vtex récemment qui est devenue la 12ème startup valorisée plus d’un milliard de dollars au Brésil. D’autres entreprises innovantes suivent également la même voie de croissance du marché. Nombre d’entre elles sont considérées comme très prometteuses pour 2021. Voici donc la liste des 6 Startups brésiliennes à surveiller en 2021. LES START-UPS BRÉSILIENNES REÇOIVENT DES INVESTISSEMENTS RECORDS EN 2020 Olist, la startup brésilienne qui propulse 25.000 petits commerçants Olist est l’une des startups les plus prometteuses de 2021. Elle pourrait même figurer sur la liste des prochaines licornes brésiliennes. L’entreprise est originaire de Curitiba. Olist développe des solutions pour augmenter les ventes des détaillants sur son marché. Olist permet actuellement à 25 000 petits commerçants brésiliens d’accéder aux principales plateformes de marché telles que MercadoLibre et Amazon.com. L’objectif est de le lancer dans d’autres pays à partir de 2021. Déjà en 2019, Olist avait un grand potentiel de croissance, à tel point qu’elle était l’une des entreprises qui ont reçu des investissements de SoftBank. La société, qui est soutenue par le groupe SoftBank, a vu son chiffre d’affaires doubler cette année. En effet, les Brésiliens se tournent vers le commerce électronique dans le contexte des restrictions imposées par le virus. Elle prévoit d’élargir la gamme de services fournis aux commerçants avec l’acquisition, pour laquelle elle n’a pas divulgué de valeur de transaction. Docway, le concurrent brésilien de Doctolib C’est le concurrent brésilien de Doctolib ! Docway a eu l’idée innovante en 2015 de ramener le médecin chez le patient au lieu de l’inverse. La start-up brésilienne propose des services de télé-consultation. Il n’a pas fallu longtemps à la start-up de Curitiba pour déplacer son siège dans la ville de São Paulo. Cela lui a notamment permis d’étendre le réseau de services à l’ensemble du pays. Grâce à la pandémie et au confinement lié, la société a intégré la révolution de la téléconsultation à grande échelle. Ainsi, tant les professionnels que les patients inscrits sur la plateforme ont pu prendre leurs rendez-vous médicaux par le biais d’appels vidéo. Compte tenu des perspectives de 2021, l’avenir de Docway semble tout tracé pour devenir l’une des startups brésiliennes les plus prometteuses de 2021. Social Miner, la startup du People Marketing basée sur l’IA Social Miner est une startup qui se concentre sur l’évaluation du comportement des consommateurs en ligne et l’humanisation de ces clients. Ces informations sont utilisées pour aider les marques dans leurs stratégies de marketing et de vente. La proposition est que les marques comprennent les besoins réels, les habitudes et les recherches des clients, et créent des campagnes et des processus plus humanisés. Selon la start-up, ce processus d’humanisation de la clientèle, fait augmenter les ventes des e-commerces et l’impression favorable des marques. Fondée en 2014, basée à São Paulo, Social Miner a développé une plateforme “SaaS” (software as a service) pour le commerce électronique et les détaillants. Leur solution propose des mécanismes pour augmenter les ventes, engager les consommateurs, convertir les visiteurs en inscriptions ou en achats. Enfin, le Saas diminue le coût d’acquisition des clients en utilisant le big data et l’intelligence artificielle. “Grâce à l’intelligence artificielle, au big data et au machine learning, nous pouvons définir le meilleur moment pour avoir un impact sur l’utilisateu. Avec du contenu individualisé, amené par le bon canal, les ventes augmentent et les coût média se réduisent. Selon le fondateur de la startup brésilienne, le coût d’acquisition de nouveaux utilisateurs diminue pour ses clients. La solution permettrait même de mieux fidéliser les clients dans le temps. Gupy, la plateforme du recrutement des talents en plein essor La tâche du recrutement et de sélection des talents pour les entreprises est devenue beaucoup plus facile après la création de Gupy en 2015. La startup est une plateforme où les entreprises peuvent effectuer l’ensemble du processus de sélection, des entretiens et de l’embauche en ligne. Avec des géants tels que O Boticário et Ambev dans sa liste de clients, Gupy a révolutionné la façon dont les petites et grandes entreprises trouvent des employés. Pendant la pandémie, le service est devenu essentiel pour les entreprises. La solution de Gupy a permis de ne pas interrompre leur processus de sélection même pendant la crise. L’entreprise a reçu un investissement de plus de 40 millions de R$ dernièrement. De nouveaux relais de croissance s’annoncent déjà pour la plateforme brésilienne. Le processus de formation des nouveaux stagiaires de O Boticário se fera également par le biais de la plateforme. Descomplica, la Edtech qui explose avec le confinement La startup Descomplica a pour mission de proposer des cours en ligne et à bas prix pour les étudiants de tout le Brésil. Depuis 2011, la startup se propose comme une option pour les étudiants qui souhaitent s’entendre avec l’ENEM. C’est actuellement le plus grand outil de ce type sur Internet. Et si l’on en juge par les succès de WeSchool en Italie, d’Unacadamy en Inde et de bien d’autres, la start-up brésilienne a de beaux jours devant elle ! En 2020, en plus des cours du lycée, Descomplica a également lancé sa plateforme de cours de troisième cycle. Pour ce nouveau produit, la start-up a compté avec une contribution de 55 millions de R$ cette année. L’idée d’une éducation accessible à tous reste le plus grand objectif de la startup. Conta Azul, la star-up qui aide les startups brésiliennes Conta Azul offre une plateforme de gestion d’entreprise pour les micro et petites entreprises. Cet outil représente une innovation dans la manière de gérer les petites entreprises. En effet, grâce à elle, en plus des tâches quotidiennes, le commerçant a un accès direct aux procédures bancaires, avec le gouvernement et d’autres. C’est l’application tout en un qui séduit de plus en plus d’entrepreneurs. Ce sera surement l’une des startups
Iziwork lève 35 millions d’euros en Janvier 2021 pour accélérer en Europe

La start-up française de travail temporaire Iziwork vient de clôturer un tour de table de 35 millions ! Et cette jeune entreprise devrait se concentrer sur l’Italie. Le projet est de revisiter complètement sous l’angle numérique chaque service offert par les agences d’intérim notamment. Iziwork veut se développer en Italie, marché relativement similaire à celui de la France Des 35 remployés, la startup française devrait passer à un effectif de 150 employés dans les prochains mois en Italie. Et du seul centre de Milan qui est opérationnel aujourd’hui, Iziwork vise l’ouverture de 8 autres hubs en 2021. Les villes choisies sont Brescia, Trévise, Bologne, Turin, Vérone, Parme, Florence et Rome. Le bond en avant que l’entreprise française de technologies de l’emploi Iziwork veut faire en Italie est objectivement puissant. Tout comme le tour de table de 34,5 millions d’euros que la startup vient d’annoncer aux côtés d’importants investisseurs internationaux tels que Cathay Innovation et Bpifrance. Un tour de table de 35 millions pour accélérer à l’échelle européenne La clôture de l’opération doit accélérer le plan d’expansion à l’échelle européenne d’une entreprise qui s’impose rapidement (depuis 2018) comme l’une des principales plateformes numériques de travail temporaire sur le Vieux Continent : 800 000 travailleurs enregistrés dans sa base de données. Iziwork a déjà converti plus de 2 000 entreprises clientes actives. Et ce dans des secteurs variés, allant de la grande distribution, à la logistique et au secteur des services. Mais là où Iziwork fait très fort, c’est qu’elle a quadruplé le nombre de placements réussis entre avril et décembre 2020. Cette période de six mois au cours de laquelle la demande de flexibilité a encore augmenté grâce au COVID a profité à la startup. L’intelligence artificielle pour digitaliser le processus de l’interim Cette croissance rapide d’Iziwork est portée par beaucoup de technologie, notamment l’intelligence artificielle. Le projet est de revisiter complètement sous l’angle numérique chaque service offert par les agences de placement aux candidats et aux entreprises. De la phase d’intégration, qui peut être gérée en quelques étapes directement via l’application mobile, à la phase de recrutement des candidats, qui exploite la capacité des algorithmes à identifier le profil le plus approprié en moins de quatre heures, tout est géré par des outils numériques. Même les procédures administratives (feuilles de temps, paie, etc.) ont droit à un lifting digital. L’objectif sous-jacent ? Faciliter l’accès aux emplois temporaires, même pour les employés les moins qualifiés. La startup RH va recruter pour renforcer ses équipes notamment en Italie Le tour de table de 35 millions qui vient de s’achever, comme le confirme Pierluigi Lauriano, nouveau directeur général d’Iziwork Italia, permettra de débloquer des investissements ciblés pour renforcer l’équipe de R&D. L’objectif est notamment de doubler les 60 ingénieurs en informatique et spécialistes des données actuellement employés. Cela permettra de consolider et développer les activités sur de nouveaux marchés, à commencer par l’Italie. Les points forts qui ont drivés le succès commercial d’Iziwork Le point fort d’Iziwork, comme l’explique le responsable dans une note, est précisément la plate-forme numérique propriétaire. Elle garantit l’automatisation totale des processus et une efficacité maximale pour réduire le temps et les coûts de la recherche et de la gestion du personnel. La technologie est donc accompagnée d’une approche définie comme “centrée sur le travailleur”. L’objectif est enfin d’accroître la probabilité de fidélisation des meilleurs profils. Ceux qui s’inscrivent peuvent en effet accéder à une série de services tels que des programmes de formation. Ils peuvent également bénéficier d’un accès prioritaire aux missions les plus pertinentes. Enfin, une prime de 400 euros par an pour ceux qui se distinguent particulièrement. 🙂
2 Startups fintechs nigériannes lèvent des fonds : Chipper Cash et Kuda

Nous vous le disions dans notre article sur les 10 startups nigériannes à surveiller en 2020, l’écosystème du NIgéria est dynamique. Les startups fintechs nigériannes s’en sortent très bien aussi. A tel point que plusieurs ont levé des fonds dernièrement : Chipper Cash lève 30M$, notamment auprès de Jeff Bezos Kuda lève 10M$ pour devenir la banque mobile par excellence Chipper Cash, la startup fintech nigérianne qui lève des fonds avec Jeff Bezos Chipper Cash, start-up fintech africaine, a signé un financement de série B de 30 millions de dollars sous la direction de Ribbit Capital. Mais aussi et surtout avec la participation de Bezos Expeditions – le fonds de capital-risque personnel du PDG d’Amazon, Jeff Bezos. Chipper Cash, la startup fintech nigérianne en plein essor Chipper Cash a été fondée à San Francisco en 2018 par l’Ougandais Ham Serunjogi et le Ghanéen Maijid Moujaled. Encore un bel exemple de la diaspora africaine aux Etats-Unis qui réussit à adapter la culture business à leur pays d’origine. La société propose des services de paiement P2P gratuits sur téléphone portable dans sept pays : Ghana, Ouganda, Nigeria, Tanzanie, Rwanda, Afrique du Sud et Kenya. Parallèlement à son application P2P, la start-up fintech nigérianne gère également Chipper Checkout, un produit de paiement payant destiné aux commerçants. Ce service génère les revenus nécessaires pour soutenir l’activité de paiement mobile gratuit de Chipper Cash. La société a atteint 3 millions d’utilisateurs sur sa plate-forme et traite en moyenne 80 000 transactions par jour. En juin 2020, Chipper Cash a atteint une valeur de paiements mensuels de 100 millions de dollars. Le futur de l’une des meilleures startups fintechs nigériannes Dans le cadre de la série B, la start-up prévoit d’étendre ses produits et sa portée géographique. Du côté des produits, cela implique d’offrir davantage de solutions de paiement aux entreprises, d’options de négociation en crypto-monnaie et de services d’investissement. “Nous serons toujours une plate-forme de transfert financier P2P au cœur de notre activité. Mais nos utilisateurs nous ont demandé d’offrir d’autres services de valeur… comme l’achat de devises cryptées et l’investissement dans des actions”, a déclaré M. Serunjogi à TechCrunch lors d’un appel. Le soutien de Jeff Bezos à Chipper Cash, une aubaine pour les startups nigériannes Le soutien de Jeff Bezos à Chipper Cash fait suite à une série d’événements récents qui ont accru la visibilité de la scène des start-ups africaines. Au cours de la dernière décennie, l’écosystème technologique du continent a connu l’une des croissances les plus rapides au monde. Ces bons résultats sont dus à l’expansion du capital-risque et de la création de start-ups. Même si elle reste concentrée dans des pays tels que le Nigeria, le Kenya et l’Afrique du Sud. Le fondateur de Chipper Cash, Ham Serunjogi, attend des retombées du soutien d’une personnalité comme Jeff Bezos qui vont au-delà de sa startup. Kuda, la 2ème startup fintech nigérianne à surveiller de près Kuda, une start-up fintech nigériane a annoncé qu’elle avait levé 10 millions de dollars. Cette startup exploite une banque via mobile pour les consommateurs et (bientôt) les petites entreprises. Ce financement fait suite à une forte demande pour ses services et à ses ambitions – selon le PDG Babs Ogundeyi. En effet, l’ambition centrale est de devenir la banque de référence non seulement pour les personnes vivant sur le continent africain… Mais aussi pour la diaspora africaine. “Nous voulons mettre en banque tous les Africains de la planète, où que vous soyez dans le monde”, a-t-il déclaré dans une interview. Elle commence d’abord sur son marché d’origine : depuis son lancement en septembre 2019, elle a attiré environ 300 000 clients. D’abord des consommateurs et maintenant aussi des petites entreprises. La fintech traite en moyenne plus de 500 millions de dollars de transactions chaque mois. Une levée de fonds de 10 M$ mené par Target Global, après 1M$ déjà levé auparavant La levée de fonds de 10 millions de dollars est dirigée par Target Global, le géant du capital-risque hors d’Europe. On note également la participation d’Entrée Capital et de SBI Investment , ainsi que d’un certain nombre de business angels notables. La liste comprend Raffael Johnen (fondateur de Auxmoney), Johan Lorenzen (fondateur de Holvi), Brandon Krieg/Ed Robinson (fondateurs de Stash), et Oliver et Lish Jung (business angels dans Nubank, Revolut et Chime). Avant cela, Kuda – qui est cofondée par Ogundeyi et CTO Musty Mustapha – avait levé 1,6 million de dollars lors d’un tour de table préalable pour lancer une version bêta de son service, et Ogundeyi a déclaré qu’il travaillait déjà sur une série A beaucoup plus importante. Aucune évaluation n’est actuellement divulguée. Le succès des startups fintechs nigériannes se confirme, avec Paystack Plus récemment, Paystack – une start-up de paiement du Nigeria – a été acquise par Stripe pour plus de 200 millions de dollars, ce qui en fait non seulement la plus grosse acquisition de Stripe. Cette nouvelle a suivi de près l’affaire Interswitch. Une autre start-up de paiement qui a atteint une valeur d’un milliard de dollars grâce à un investissement de Visa. Les startups fintechs nigériannes ont été parmi les plus suivies, et leurs services les plus largement adoptés, de tous les acteurs technologiques de la région. La raison en est logique. L’Afrique est l’un des continents les plus peuplés du monde, mais aussi l’un des plus sous-développés économiquement. Ainsi, alors que la population commence à adopter sérieusement la technologie mobile, la concurrence est relativement faible. Les start-ups nigériannes du secteur fintech ont donc encore de beaux jours devant elles. Une construction de business différente des autres fintechs mondiales pour Kuda Contrairement à beaucoup de fintechs comme N26, NuBank ou Revolut, Kuda ne s’associe pas avec d’autres banques. Généralement une banque établie gère et garantit les dépôts, pour se concentrer sur le service client, et sur la création d’expériences conviviales et de services à valeur ajoutée autour de la gestion de l’argent. Kuda a plutôt obtenu une licence de banque de microfinance auprès de la banque centrale
Les startups colombiennes cherchent des financements à l’étranger

L’accès au capital pour les startups colombiennes comme pour les autres est crucial pour sa survie et son développement. Historiquement, la difficulté des start-ups en Colombie a été le manque de capital-risque des investisseurs régionaux. Par exemple, aucun investisseur colombien ne figure sur la liste des investisseurs les plus actifs de la région établie par la LAVCA en 2018. Le gouvernement tente de contourner cette pénurie d’investissements locaux en attirant des investisseurs étrangers. Il envoie également des startups colombiennes à l’étranger pour rencontrer des investisseurs et des accélérateurs étrangers. Attirer le capital-risque étranger pour les startups en Colombie Un gouvernement qui souhaite pousser les stratups colombiennes sans vraiment y parvenir pour l’instant Outils financiers : Ignacio Gaitan d’iNNpulsa qui promeut la croissance des startups – a déclaré à Latin America Reports que le gouvernement avait créé des outils financiers pour aider à attirer le capital-risque étranger. “Les grandes sociétés de capital-risque attendent que le gouvernement crée des instruments pour qu’elles puissent voir qu’il existe un marché en Colombie”. “Quand le gouvernement envoie un message, les fonds viennent frapper à la porte”. Incitation fiscale : L’une de ces mesures d’incitation était une “exonération fiscale de cinq ans pour les investissements de haute technologie” (loi de réforme fiscale de 2019). En octobre, la Cour constitutionnelle colombienne a déclaré inconstitutionnelle la loi fiscale. En raison d’irrégularités de procédure lors de son adoption ; la législation est toujours en attente de l’approbation finale du Congrès. Un dynamisme correct des investissement à l’échelle latine Cependant, la Colombie reste compétitive dans la région en termes d’investissement en capital-risque. L’année dernière, la nation andine n’a été distancée par le Brésil pour le volume d’investissement. La plupart des capitaux provenaient d’entreprises situées en dehors de la Colombie. Et en juillet, il a été annoncé que la Softbank du Japon et le Neogen Fund de la Chine ont chacun investi 15 millions de dollars dans le “Fondo de Fondos” (Fonds de fonds) de Colombie, un fonds d’investissement pour les start-ups colombiennes. Envoyer des start-ups colombiennes à l’étranger : Exemple de Rappi Rappi, la coqueluche des start-ups colombiennes a atteint une valeur d’un milliard de dollars en août 2018. C’est peut-être l’exemple le plus célèbre du succès des start-ups du pays à l’étranger. La société, qui offre un service de livraison à la demande, a été incubée à Y Combinator. Cet incubateur a joué un rôle essentiel dans le succès de géants de l’industrie technologique comme Airbnb, Stripe et Doordash. Par ailleurs, elle a reçu des fonds de grands fonds de capital-risque technologiques, dont Andreesen Horowitz et Softbank. Le gouvernement espère recréer ce type de succès à l’étranger pour d’autres start-ups colombiennes. Seedstars en soutien à la politque d’expansion des startups colombiennes Apps.co, un programme du ministère des technologies de l’information et de la communication qui soutient les jeunes pousses technologiques, s’est associé à Seedstars. Cette organisation suisse travaille avec des jeunes pousses sur les marchés émergents, pour créer le programme d’expansion internationale. Ce programme aide les startups colombiennes du secteur numérique en phase de démarrage. Seedstars a récemment annoncé que dix startups colombiennes se rendront au Mexique et au Pérou dans le cadre de ce programme. Le programme d’expansion internationale pour les entreprises en phase finale est géré depuis la capitale, Bogota. Les programmes d’incubation sont mis en œuvre dans 34 villes de Colombie. Elle affirme également que 80 % des entreprises participant au programme d’expansion internationale se développent à l’étranger. Les startups colombiennes tournées vers l’avenir Attirer le capital-risque étranger et promouvoir les succès des startups colombiennes à l’étranger peuvent faire partie d’une stratégie plus large du gouvernement. Selon Olloqui, le gouvernement “essaie de faire venir en Colombie les business angels internationaux et les sociétés de capital-risque. Mais nous encourageons également les entités nationales à créer leurs propres sociétés d’investissement”. Elle affirme que cela peut se faire grâce à des incitations fiscales et en sensibilisant les investisseurs locaux aux histoires de réussite des start-ups colombiennes. “La meilleure chose qui pouvait arriver cette année était que Rappi devienne une licorne”, a déclaré Oscar Hoyos, un entrepreneur colombien. Il a ajouté que l’évaluation des start-ups colombiennes, qui se chiffre en milliards de dollars, suscite l’intérêt des investisseurs locaux. “Les gens commencent à voir que c’est possible, et ils disent : ‘Hé, je veux investir ici’”.
Nio, la startup chinoise des voitures électriques qui vaut autant que GM

Nio et les startups chinoises de véhicules électriques sont en plein essor Jeudi, après un troisième trimestre solide, l’action Nio a fait un bond de 12 %. Pendant ce temps, les actions de la société Xpeng, basée à Guangzhou, ont fait un bond de 33 %. Le cours de l’action de Li Auto, cotée au Nasdaq, a bondi de 27 % le même jour. Ce bond de 12 % est le dernier d’un rallye d’un an qui a fait passer l’action de Nio à plus de 1000 % depuis janvier, lorsque ses actions se négociaient à moins de 4 dollars. La capitalisation boursière de la startup chinoise dépasse maintenant 65 milliards de dollars. Nio a une valeur de près de 10 milliards de dollars de plus que le pilier américain General Motors. Alors que la startup chinoise est encore déficitaire, [symple_box style=”boxnotice”] Découvrez la nouvelle vague des startups chinoises, juste derrière les Américaines [/symple_box] Un changement de stratégie de la startup chinoise Nio Pékin s’est fixé comme objectif que les ventes de VE représentent la moitié du marché en 2035. Et les constructeurs nationaux chinois cherchent tous à prendre la tête du peloton. Des débuts difficiles pour le startup automobile Nio L’envolée des actions de Nio marque un changement significatif dans l’appétit des investisseurs pour cette startup chinoise âgée de six ans. Depuis son entrée en bourse en septembre 2018, l’action s’est principalement négocié en dessous de son prix de départ. En 2019, elle a même reçu ce qui un milliard de dollars de renflouement du gouvernement chinois. Un appétit des investisseurs américains qui se renforce L’entreprise a apporté quelques changements à son modèle d’entreprise qui semblent avoir amélioré ses ventes. Mais surtout les gains des actions de Nio sont révélateurs d’une tendance plus large. Les investisseurs américains jetent un large filet pour attraper le prochain leader des véhicules électriques. “Il y a une ruée d’investisseurs à la recherche du prochain gros coup”, a déclaré Bill Russo, fondateur et PDG de la société de conseil en investissement Automobility. Peu après, le concurrent de Nio, Xpeng, est entré en bourse à New York. Et à peine un mois après, un autre concurrent encore, Li Auto, a levé plus d’un milliard de dollars grâce à sa cotation au Nasdaq. Quand la bonne santé de Tesla soutient les startups chinoises des véhicules électriques Au cours du premier semestre de l’année, Tesla est devenu le numéro un des ventes de VE en Chine, ce qui représente un “tournant” sur le marché. Avant cela, les acheteurs industriels ou de flottes, tels que les sociétés de transport public et de taxi, étaient responsables de la plupart des ventes de VE en Chine. L’essor de Tesla indique que le marché des VE grand public progresse. Soutenues par la forte performance de Tesla, les actions de Xpeng ont progressé de 40 % dès le premier jour de négociation. Comparez cela avec les débuts de Nio en 2018 ! Les actions ont immédiatement chuté et se négociaient à 80 % en dessous de leur valeur d’introduction en bourse 12 mois plus tard. Nio en tête, les startups chinoises des véhicules électriques accélèrent La confiance des investisseurs dans les startups chinoises des VE semblait s’effriter lorsque Nio a fait ses débuts il y a deux ans. Les subventions gouvernementales pour les VE qui avaient permis à des start-ups comme Nio d’entrer sur le marché en stimulant la demande devaient expirer deux ans plus tard, en 2020. Les finances de Nio étaient également sombres. Au moment où elle a déposé son prospectus, la société basée à Shanghai n’avait expédié que 500 unités et avait une dette de 500 millions de dollars. Le constructeur automobile Nio n’est toujours pas rentable. Alors que ses liquidités étaient en chute libre, Nio a signé un accord de coentreprise d’un milliard de dollars avec une entreprise d’État pour produire des voitures bas de gamme. Ce partenariat a apporté à Nio une injection de liquidités dont elle avait grand besoin. Cependant ça a brisé le modèle commercial de l’entreprise axé sur le haut de gamme. Les récents changements apportés au régime de subventions de Pékin pourraient profiter à Nio. En avril, Pékin a décidé de prolonger son programme de subventions jusqu’en 2022 pour les véhicules de tourisme moins chers. Le gouvernement a déclaré qu’il accorderait des subventions aux entreprises de VE qui fabriquent des voitures avec des batteries interchangeables, quel que soit le prix. Cette politique donne à Nio, pionnier des services d’échange de batteries, une plus grande flexibilité sur la façon dont elle fixe le prix de ses modèles. [symple_box style=”boxinfo”] Découvrez les 3 startups chinoises qui vont s’exporter : PONY.AI, INSTA360 ET SHEIN [/symple_box] De nouveaux objectifs pour les véhicules électrique en Chine La prolongation des subventions intervient au moment où Pékin fixe un objectif pour les véhicules à énergie nouvelle (VE). Les voitures électriques – hybrides rechargeables et à hydrogène – doivent représenter 20 % des ventes automobiles d’ici 2025. D’ici 2035, toutes les ventes de voitures neuves devront être “écologiques”, a décrété Pékin. 50 % étant des VNE et l’autre moitié des hybrides ordinaires. Les VNE occupent actuellement environ 5 % du marché chinois. La Chine est donc le premier marché mondial des véhicules électriques !
Les 10 fonds de capital venture indiens les plus actifs entre 2014 et 2020

Entre 2014 et 2020, les startups indiennes ont récolté 63 milliards de dollars sur 400 levées de fonds. Il y a près de 849 fonds de capital venture indiens et 2 751 investisseurs qui investissent en Inde. L’article est basé sur le rapport “The State Of Indian Startup Ecosystem Report of 2020” de la société Inc42. D’une poignée d’entreprises technologiques remarquables il y a un peu plus de cinq ans à des milliers de startups de et licornes indiennes. L’écosystème des start-ups indiennes s’est considérablement développé de 2014 à 2020. À tel point que le gouvernement indien a décidé d’introduire des prix nationaux pour les start-ups en 2020 afin de reconnaître les efforts des startuppers indiens. Ce succès a été rendu possible grâce aux conseils et au flux de capitaux des investisseurs. D’après le rapport 2020 de Inc42, 63 milliards de dollars ont été investis dans l’écosystème des start-ups indiennes. Et ce, dans le cadre de 5 400 transactions entre 2014 et 2020. Au total, les start-ups indiennes ont levé 12,7 milliards de dollars sur 766 transactions en 2019. Selon le rapport, il y a près de 849 fonds de capital-risque indiens, 45 fonds familiaux, 44 réseaux de business angels et 2 751 investisseurs personnels qui investissent en Inde. Les investissements en capital risque en 2020 se relèvent en fin d’année et notamment pendant le 3ème trimestre. A titre d’exemple, voici les principaux investisseurs sur ce derniers trimestre. On retrouve loggiquement plus ou moins les mêmes que dans le top 10 avec Sequoia en premier. Et la startup Unacademy dont nous vous parlions en Février s’affiche encore en bonne place. Startuppers Club vous découvrir les 10 fonds de capital venture indiens les plus actifs : Sequoia Capital, le premier des fonds de capital venture indiens est américain ! Nombre de levées de fonds : 245 Investissements notables : BYJU’S, Bira91, OYO, Khatabook, Rupeek, Meesho, CRED Sequoia Capital est une société américaine de capital-risque, dont le siège est à Menlo Park, en Californie. Elle est principalement axée sur l’industrie technologique. On dit qu’elle gère des actifs d’une valeur de 5,4 milliards de dollars rien qu’en Inde, répartis dans sept fonds. La société de capital-risque détient également “Surge”, un accélérateur de startups pour encadrer et investir dans des entreprises d’Asie du Sud-Est, y compris en Inde. Tous les six mois, Sequoia pré-sélectionne 15 à 20 start-ups pour chaque cohorte et fournit un investissement en capital de 1 à 2 millions de dollars avec la participation d’autres investisseurs. Accel Partners, aussi un fonds de capital venture américain en 2ème position ! Nombre de levées de fonds : 232 Investissements notables : Freshworks, Swiggy, BlackBuck, Bounce, BookMyShow, Flipkart Accel Partners est un autre des fonds de capital venture indiens qui est en fait américain. Ce fonds travaille avec des jeunes pousses en phase d’amorçage, de démarrage et de croissance. La société de capital-risque a été fondée en 1983 par Arthur Patterson et Jim Swartz dans la Silicon Valley, et a investi dans plus de 1460 start-ups à travers le monde grâce à ses 29 fonds. La société a également connu 297 sorties réussies. En Inde, Accel Partners a créé près de six fonds. Le dernier, le fonds VI, a été clôturé en décembre 2019 pour un montant de 550 millions de dollars. L’objectif est d’investir dans des start-ups indiennes en phase d’amorçage et de démarrage. En 2016, Accel avait fermé son fonds de 450 millions de dollars. Cela lui avait permis d’investir dans le géant du commerce électronique Flipkart et l’agrégateur alimentaire Swiggy. Blume Ventures, le premier des purs fonds de capital venture indiens Nombre de levées de fonds124 Investissements notables : Dunzo, Unacademy, Instamojo, Procol, HealthAssure, Milkbasket Blume Ventures est un fonds de capital-risque axé sur les technologies en phase de démarrage et d’amorçage, fondé par Sanjay Nath et Karthik Reddy en 2010. La société a lancé son premier fonds de microcrédit en 2011. Elle devenait ainsi le premier investisseur institutionnalisé en phase de démarrage à cette époque. Jusqu’à présent, la société a eu près de trois autres fonds, le dernier ayant clôturé à 102 millions de dollars juste avant que la pandémie ne frappe l’Inde. L’entreprise de capital-risque gère un capital total de près de 225 millions de dollars, avec des investissements dans certains noms connus comme Dunzo, Unacademy, Milkbasket, Yulu et LBB. SAIF Partners Nombre de levées de fonds100 Investissements notables : Capital Float, Firstcry, Swiggy, IndustryBuying, Aye Finance, Rivigo, Cleartax SAIF Partners est une société de capital-investissement au niveau de la scène et du secteur en Asie, qui disposerait de près de 4 milliards de dollars de capitaux. La société de capital-investissement a été créée en 2001 sous la forme d’un fonds d’infrastructure de SoftBank Asia. Elle est dotée d’un financement de 400 millions de dollars. La société de capital-investissement a ses bureaux en Inde, en Chine et à Hong Kong. En Inde, le SAIF Partner a des bureaux à Bengaluru et Gurugram. Le fonds a également doublé ses investissements dans les entreprises indiennes en 2020 afin d’exploiter de nouveaux segments tels que les technologies de l’information, les logiciels d’entreprise en tant que service (SaaS), le divertissement et les start-ups de vente directe aux consommateurs. Tiger Global Management Nombre de levées de fonds : 97 Investissements notables : Urban Company, Flipkart, Moglix, OPEN, Ninjacart, Razorpay Secteurs clés : Internet, Logiciels, Consommation, Technologie financière Tiger Global Management est une société d’investissement qui a déployé des capitaux à l’échelle mondiale sur les marchés publics et privés. La société aurait investi dans près de 442 entreprises à travers le monde à travers 7 fonds. Elle a également connu 64 sorties depuis sa création en 2001. En Inde, la société de capital-risque a investi dans près de 97 start-ups, dont Urban Company et Ninjakart. Elle avait investi la dernière fois 100 millions de dollars avec d’autres investisseurs dans la fintech Razorpay, marquant son entrée dans le club